Abderrahman Hajji n’est plus.
Il est parti les mains tendues
Vers le clair firmament des cieux,
Implorant la pitié de Dieu.

Il est parti avec l’espoir
Qu’on passera outre ses déboires.
Sa porte est toujours grande ouverte;
Qui la ferme court à sa perte.

Ette accepte tous les pécheurs,
D’où qu’ils viennent, à la malheure!